ART SOUS X

Evénements passés
FEVRIER 2024 – ACCORDS – MARIE ALLOY – Art sous X a le plaisir d’accueillir l’exposition ACCORDS de Marie ALLOY les 16,17,18 et 23, 24, 25 février 2024 au 71 bis rue haute guignière Tavers de 14h30 à 18h30.  Marie Alloy présentera la richesse et la diversité de sa création: peintures, gravures, aquarelles, livres d’artistes et certains recueils de sa maison d’édition Le Silence qui roule. Trois lectures de poèmes édités aux éditions Le Silence qui roule accompagneront cet évènement: – Christian STERN  vendredi 16 février à 19h  poèmes de Gérard Bocholier :  Vers le visage poèmes en prose de Béatrice Pailler: L’autre versant – Marie ALLOY   dimanche 18 février à 16h – poèmes de Marie Alloy: Accords – Jean Pierre VIDAL  dimanche 25 février à 16h – proses de Jean Pierre Vidal :  [...]
NOVEMBRE 2023  –  META-MAMBO est une exposition qui invite le spectateur dans un rythme évolutif. Tunc Ta Tacacata Tun Ta, Pam – Pam –  Pam Pam Pam Papam Poum Pa,  Pada Ta  Ta Ta Pum Pam Pam! … Par un travail de l’image imprimé et de la lumière d’un espace à l’autre les reflets dansent sur les murs, les œuvres s’animent, activées par les mouvements des regards et des corps qui les observent. Les pièces présentées évoquent ce qui constitue nos trajets quotidiens, le mouvement pendulaire, le pendant, l’après, ce qui dépasse (“méta“). L’occasion d’observer, en deux temps, comme un “mambo” , l’espace hors cadre, les jeux de lumières, de transparence, de reflets, d’impressions et de volumes polymorphes. Pour mieux s’imprégner du travail de Léa RIVERA HADJES, il convient de déambuler autour des œuvres, de s’en approcher. ” Ma recherche porte sur les déplacements pendulaires, ces trajets aller-retour que nous réalisons quotidiennement. J’habite en banlieue sud et mon atelier se trouve à l’extrême opposé. Chaque jour, je prends le RER, le métro, la voiture, le vélo et marche…Je photographie et filme toutes ces déambulations sans crainte de répétition. Les images produites sont ambivalentes : elles rendent compte du vagabondage de l’esprit tout en s’attachant à la réalité du moment. Cet ancrage dans le quotidien, ajouté à l’échappatoire permise par le transport, donne lieu à des images doubles présentant différents niveaux de lecture. Ces clichés glanés sur le terrain et retravaillés sont ensuite transposés en alu graphie (lithographie sur plaque d’aluminium photosensible), imprimés sur différents matériaux (plexiglas, bois, bâche…), puis intégrés à une installation. Afin de donner une nouvelle dimension à mes estampes, je fabrique des structures d’encadrement polymorphes en métal. Les formes des structures sont inspirées par le mobilier urbain ponctuant mes trajets, pour leur aspect familier, ainsi que la dimension commune et publique qu’ils dégagent. Je m’intéresse aux zones transitoires et de passages, des non-lieux tels que les a définis le philosophe Marc Augé : des espaces interchangeables où les individus qui les habitent restent anonymes. J’observe les mouvements, flux individuels et collectifs, ainsi que les temps d’attente impersonnels qui animent ces non-lieux. Dans mon travail il s’agit également de s’attacher à des éléments subtils qui parsèment nos transitions quotidiennes, de sublimer ou souligner des éléments révélateurs de notre environnement socio-politique actuel, réel, des détails parfois insignifiants parsemant ces voyages. Mais aussi de s’interroger sur ces « interstices », de créer de nouveaux paysages inexplorés, des projections intimes. Perdre ses repères, en créer de nouveaux, traverser des frontières physiques, mentales. S’évader dans la fiction puis être soudainement rappelé au réel. Une quête pour donner à voir l’insaisissable : la lumière, l’espace, le temps, le mouvement, la vitesse, les rêveries.»                     Léa RIVERA HADJES         [...]
28 SEPTEMBRE – 22 OCTOBRE  2023   Jade CHARPAGNE dessin   Sandy KALAYDJIAN  multi mediums  Maëline LI installation multimédias 2023/2024 : trois  lauréates  pour la 9è édition avec des univers variés dans des domaines tout aussi variés. En octobre, première phase  de la résidence BOUCHOR, avec des temps d’ exposition, de recherche, de création(s), d’échanges et de rencontre avec le public, de plus en plus  en attente chaque année, de découvrir de nouvelles manières d’être sollicité, entrainé vers des  questionnements et peut-être d’être surpris par les jeunes artistes. Pour la seconde phase, prévue en mai/juin 2024, autre rendez-vous à la galerie du Montparnasse pour une exposition de  nouvelles œuvres, les lauréates participeront à la  “Nuit blanche” désormais inscrite au premier samedi de juin. JADE CHARPAGNE Jade Charpagne est une artiste plasticienne française diplômée des Beaux-Arts de BOURGES en 2022. Finaliste du prix Pierre DAVID – WEILL en 2023, c’est par la pratique du dessin, de la peinture et de l’installation, qu’elle tend à retranscrire des formes de récits dans lesquelles le dessin est d’abord central puis s’oriente vers des dispositifs visuels et de lectures plus complexes. Dans une relation à l’espace et à la composition, son travail aligne des perspectives de recherches techniques et de mises en scène ; une manière pour elle de faire émerger par un vocabulaire graphique et pictural un dialogue entre ses images dans la conception d’espaces et personnages de narrations contemporaines.       SANDY KALAYDJIAN Sandy Kalaydjian est une artiste plasticienne transmédia qui vit et travaille à PARIS. Son travail s’exprime avant tout par des installations mêlant différents médiums (jeu-vidéo, dessins, objets, archives, etc.) qui vont chacun apporter leur spécificité à un système plus vaste dans lequel les visiteurs s’immergent. Elle confronte des techniques et des images anciennes avec d’autres, très contemporaines, afin de troubler leurs temporalités respectives. Elle cherche par des citations de toutes natures à créer des jeux de correspondances entre des évènements fictifs ou réels, passés ou futurs pour générer de nouvelles narrations. Elle compose ses installations comme autant d’énigmes interrogeant notre rapport aux images, à la fiction et à l’Histoire.       MAELINE  LI Mon travail prend la forme d’une somme d’outils pour atteindre un lieu. Un espace entre deux zones déjà définies, à géométries variables. Il s’engage de façon similaire à celui d’un reporter photo, en cartographiant mes interrogations, posant des questions sans en chercher de réponses. Le récit et l’écrit sont à la base des formes que je fais apparaître, reposant plus largement sur un principe de collection, de matériaux picturaux, sonores, d’archives ou d’enregistrements. Tous les médiums peuvent me permettre d’arriver à mes fins, les outils numériques, de l’image et du son m’offrent cependant plus de liberté, sur des plans formels physiques ou virtuels. J’aime la transversalité des pratiques et des techniques, qui m’aide à passer d’un espace à un autre, de l’espace du récit à celui de la monstration ou de l’espace de fiction à l’espace physique.  En usant du process de l’enquête, je pars à la recherche d’un/du/des seuil/s, et leurs diverses apparences. J’investis les transitions et les états pas encore totalement définis, qui interviennent lors d’un changement de nature sociale, géographique ou temporelle. Je m’interroge essentiellement sur l’état de suspension : ce possible zoom sur la ligne entre deux formes, le temps d’attente dans les trains et le temps de chargement du réseau internet. Travaillant par corpus, j’aime les parallèles narratifs, comme celui avec lesquels je suis engagée actuellement, sur la physicalité de l’attente et sur la réappropriation de mes archives familiales. Ce terme, de réappropriation, est actuellement très important dans mes recherches, car il est toujours question, de façon détournée ou plus directe, de reprendre pied sur ses objets identitaires personnels par l’occupation des interstices.       VINCENT SATOR – parrain Ed.9 Vincent SATOR a fondé la galerie SATOR, en octobre 2011,  dans le Marais au centre de  PARIS  et a ouvert, depuis 2019, un nouveau lieu avec un collectif de 5 autres galeries regroupées sous le nom de  Komunuma  au sein d’un centre culturel dédié à l’art contemporain à ROMAINVILLE en Seine Saint Denis. Ces 2 galeries ont pour vocation de promouvoir des artistes contemporains français et internationaux émergents, tout domaine et médium confondus (peinture, photographie, dessin, objet, installation, vidéo…) en s’attachant à ” défendre le travail d’artistes reposant sur un équilibre entre la conception sensible ou intellectuelle de l’œuvre et son résultat plastique” (Comité Professionnel des Galeries d’Art). En plus de participer à de nombreuses foires (YIA Paris & Lille, Art Paris Art Fair, Drawing Now…), la galerie SATOR favorise le développement d’échanges et de découvertes selon un programme d’événements culturels pluriels (lectures de poésie contemporaine, performances, concerts de musique expérimentale… et d’un espace librairie avec livres d’artistes, catalogues et revues d’art).  Komunuma  43 rue de la Commune de Paris  93230 Romainville +33(0)1 87 66 09 04  du mercredi au samedi 10h-6h  et sur rendez-vous Marais 8 passage des Gravilliers  75003 Paris  +33 1 42 78 04 84  sur rendez-vous       [...]
MAI – JUIN 2023  –  Résidence de Yuchi HAO – Peinture Multimédia TOUT CE QUI RESTE…  La mémoire de la terre, de la ville, en particulier celle des quartiers du XIVe  avec Nina SALES, commissaire d’exposition. La mémoire est une trace du passé qui demeure dans le présent. Elle est également une projection du présent dans le futur. Le monde contemporain est un miroir à travers lequel la mémoire reflète l’avenir. C’est dans ce cadre que Yuchi HAO présentera des travaux antérieurs et développera sur place un travail de création en prenant des parcelles abandonnées dans le XIVe  avec un mélange de collection de documents, photographies, dessin, peinture et modelage. Nina SALES invitera plusieurs artistes qui travaillent autour du même sujet de géo-narration et particulièrement le soir de la “Nuit blanche” le 3 juin.       [...]
MAI 2023 – Andrea MATWEBER – sculpture,  installation Andrea crochète, tisse, assemble des matières glanées çà et là et les métamorphose en sculptures et installations si légères qu’elles peuvent emporter notre regard et notre imagination hors sol ! Voir carton d’invitation       [...]
  AVRIL 2023 –  Clémence ARNOLD – Peinture, dessin Sur une proposition de AurelK, complice de ART SOUS X depuis sa résidence à Bouchor en 2020, Clémence Arnold nous fait entrer, en apparence,  dans  un univers tout en délicatesse et pourtant envoutant par la force sous-jacente et le bouillonnement de ses  intentions. Présentation Exposition AURELK       [...]
AVRIL 2023 – JAUNE KERE – IVANOEL BARRETO – photographie [...]
AVRIL 2023 – EPHEMERE... – François COUDRIOU – photographie Texte écrit par Barbara Mahé : Ephémère   [...]
MARS 2023 –  Mois des égalités  –  Lauren JANUHOWSKI – textile – Histoires de femmes! Dans la bibliothèque de la Fondation Victor Lyon,  Lauren JANUHOWSKI a exposé des bannières textiles et  une série de risographies (technique d’impression à froid venant du Japon qui présente une esthétique très unique et repose sur la superposition de couleurs) qui illustrent des détails de son travail textile. À travers ses projets, elle souhaite proposer une image complexe et multiple, tel un patchwork, des femmes, tout en mettant activement en question les difficultés émotionnelles et sociétales auxquelles elles sont confrontées.  Dans Espace Bouchor, FRAYED PORTALS. Les vitrines sont à la fois des portails sur un univers qui nous influencent ainsi que des miroirs où l’on peut se regarder. Toujours inspirée par les histoires de femmes qui nous entourent, Frayed Portals a présenté des travaux textiles qui profitent de la vitrine comme un portail mystique qui nous relie en tant que femmes; comment elles pourraient influencer nos désirs, l’exposition de nos corps, et les implications du consumérisme sur notre relation avec nous-mêmes en tant que femmes et nos proches.         [...]
MARS 2023 – Mois des Egalités – Manon DELARUE  Exposition immersive et conférences Histoire de femme? de femmes? de tous? Dans l’auditorium de la Fondation Victor Lyon, RÉVOLUTIONS, MENÉES, VÉCUES   Soirée de conférences   Qu’est-ce qui est à l’origine d’une révolution ? « Je travaille sur le phénomène révolutionnaire depuis plusieurs années. Une voix peut s’élever suite à un trop plein de violences, une série d’humiliations ou à la découverte d’un sentiment de liberté jusque-là, éteint. Cette voix peut devenir un évènement et entraîner un ralliement collectif. Ce processus peut bouleverser une société, un système, une institution. Afin de poursuivre la réflexion sur ce phénomène, j’invite plusieurs personnalités du monde des arts, à partager leurs expériences. Nous pourrons assister à une performance réflexive autour de la conférence, à l’histoire de la course à pied, à un soulèvement dans le monde de l’opéra classique et à l’évocation d’une soirée dansante, à la Créole. » Dans Espace Bouchor, DE SANG ET D’OR est une exposition sous forme de bande dessinée immersive. Au mur, plusieurs cases se succèdent pour former le récit d’une passion fugace. Celle-ci se déroule en Andalousie. Elle met en scène un homme espagnol, une femme française. Il est question d’érotisme, de sexualité et de culture espagnole. Cette histoire a pour ambition de soulever une question : sommes-nous égales et égaux face aux plaisirs ?   [...]

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