ART SOUS X

Evénements passés
28 SEPTEMBRE – 22 OCTOBRE  2023   Jade CHARPAGNE dessin   Sandy KALAYDJIAN  multi mediums  Maëline LI installation multimédias 2023/2024 : trois  lauréates  pour la 9è édition avec des univers variés dans des domaines tout aussi variés. En octobre, première phase  de la résidence BOUCHOR, avec des temps d’ exposition, de recherche, de création(s), d’échanges et de rencontre avec le public, de plus en plus  en attente chaque année, de découvrir de nouvelles manières d’être sollicité, entrainé vers des  questionnements et peut-être d’être surpris par les jeunes artistes. Pour la seconde phase, prévue en mai/juin 2024, autre rendez-vous à la galerie du Montparnasse pour une exposition de  nouvelles œuvres, les lauréates participeront à la  “Nuit blanche” désormais inscrite au premier samedi de juin. JADE CHARPAGNE Jade Charpagne est une artiste plasticienne française diplômée des Beaux-Arts de BOURGES en 2022. Finaliste du prix Pierre DAVID – WEILL en 2023, c’est par la pratique du dessin, de la peinture et de l’installation, qu’elle tend à retranscrire des formes de récits dans lesquelles le dessin est d’abord central puis s’oriente vers des dispositifs visuels et de lectures plus complexes. Dans une relation à l’espace et à la composition, son travail aligne des perspectives de recherches techniques et de mises en scène ; une manière pour elle de faire émerger par un vocabulaire graphique et pictural un dialogue entre ses images dans la conception d’espaces et personnages de narrations contemporaines.       SANDY KALAYDJIAN Sandy Kalaydjian est une artiste plasticienne transmédia qui vit et travaille à PARIS. Son travail s’exprime avant tout par des installations mêlant différents médiums (jeu-vidéo, dessins, objets, archives, etc.) qui vont chacun apporter leur spécificité à un système plus vaste dans lequel les visiteurs s’immergent. Elle confronte des techniques et des images anciennes avec d’autres, très contemporaines, afin de troubler leurs temporalités respectives. Elle cherche par des citations de toutes natures à créer des jeux de correspondances entre des évènements fictifs ou réels, passés ou futurs pour générer de nouvelles narrations. Elle compose ses installations comme autant d’énigmes interrogeant notre rapport aux images, à la fiction et à l’Histoire.       MAELINE  LI Mon travail prend la forme d’une somme d’outils pour atteindre un lieu. Un espace entre deux zones déjà définies, à géométries variables. Il s’engage de façon similaire à celui d’un reporter photo, en cartographiant mes interrogations, posant des questions sans en chercher de réponses. Le récit et l’écrit sont à la base des formes que je fais apparaître, reposant plus largement sur un principe de collection, de matériaux picturaux, sonores, d’archives ou d’enregistrements. Tous les médiums peuvent me permettre d’arriver à mes fins, les outils numériques, de l’image et du son m’offrent cependant plus de liberté, sur des plans formels physiques ou virtuels. J’aime la transversalité des pratiques et des techniques, qui m’aide à passer d’un espace à un autre, de l’espace du récit à celui de la monstration ou de l’espace de fiction à l’espace physique.  En usant du process de l’enquête, je pars à la recherche d’un/du/des seuil/s, et leurs diverses apparences. J’investis les transitions et les états pas encore totalement définis, qui interviennent lors d’un changement de nature sociale, géographique ou temporelle. Je m’interroge essentiellement sur l’état de suspension : ce possible zoom sur la ligne entre deux formes, le temps d’attente dans les trains et le temps de chargement du réseau internet. Travaillant par corpus, j’aime les parallèles narratifs, comme celui avec lesquels je suis engagée actuellement, sur la physicalité de l’attente et sur la réappropriation de mes archives familiales. Ce terme, de réappropriation, est actuellement très important dans mes recherches, car il est toujours question, de façon détournée ou plus directe, de reprendre pied sur ses objets identitaires personnels par l’occupation des interstices.       VINCENT SATOR – parrain Ed.9 Vincent SATOR a fondé la galerie SATOR, en octobre 2011,  dans le Marais au centre de  PARIS  et a ouvert, depuis 2019, un nouveau lieu avec un collectif de 5 autres galeries regroupées sous le nom de  Komunuma  au sein d’un centre culturel dédié à l’art contemporain à ROMAINVILLE en Seine Saint Denis. Ces 2 galeries ont pour vocation de promouvoir des artistes contemporains français et internationaux émergents, tout domaine et médium confondus (peinture, photographie, dessin, objet, installation, vidéo…) en s’attachant à ” défendre le travail d’artistes reposant sur un équilibre entre la conception sensible ou intellectuelle de l’œuvre et son résultat plastique” (Comité Professionnel des Galeries d’Art). En plus de participer à de nombreuses foires (YIA Paris & Lille, Art Paris Art Fair, Drawing Now…), la galerie SATOR favorise le développement d’échanges et de découvertes selon un programme d’événements culturels pluriels (lectures de poésie contemporaine, performances, concerts de musique expérimentale… et d’un espace librairie avec livres d’artistes, catalogues et revues d’art).  Komunuma  43 rue de la Commune de Paris  93230 Romainville +33(0)1 87 66 09 04  du mercredi au samedi 10h-6h  et sur rendez-vous Marais 8 passage des Gravilliers  75003 Paris  +33 1 42 78 04 84  sur rendez-vous       [...]
MAI – JUIN 2023  –  Résidence de Yuchi HAO – Peinture Multimédia TOUT CE QUI RESTE…  La mémoire de la terre, de la ville, en particulier celle des quartiers du XIVe  avec Nina SALES, commissaire d’exposition. La mémoire est une trace du passé qui demeure dans le présent. Elle est également une projection du présent dans le futur. Le monde contemporain est un miroir à travers lequel la mémoire reflète l’avenir. C’est dans ce cadre que Yuchi HAO présentera des travaux antérieurs et développera sur place un travail de création en prenant des parcelles abandonnées dans le XIVe  avec un mélange de collection de documents, photographies, dessin, peinture et modelage. Nina SALES invitera plusieurs artistes qui travaillent autour du même sujet de géo-narration et particulièrement le soir de la “Nuit blanche” le 3 juin.       [...]
MAI 2023 – Andrea MATWEBER – sculpture,  installation Andrea crochète, tisse, assemble des matières glanées çà et là et les métamorphose en sculptures et installations si légères qu’elles peuvent emporter notre regard et notre imagination hors sol ! Voir carton d’invitation       [...]
  AVRIL 2023 –  Clémence ARNOLD – Peinture, dessin Sur une proposition de AurelK, complice de ART SOUS X depuis sa résidence à Bouchor en 2020, Clémence Arnold nous fait entrer, en apparence,  dans  un univers tout en délicatesse et pourtant envoutant par la force sous-jacente et le bouillonnement de ses  intentions. Présentation Exposition AURELK       [...]
AVRIL 2023 – JAUNE KERE – IVANOEL BARRETO – photographie [...]
AVRIL 2023 – EPHEMERE... – François COUDRIOU – photographie Texte écrit par Barbara Mahé : Ephémère   [...]
MARS 2023 –  Mois des égalités  –  Lauren JANUHOWSKI – textile – Histoires de femmes! Dans la bibliothèque de la Fondation Victor Lyon,  Lauren JANUHOWSKI a exposé des bannières textiles et  une série de risographies (technique d’impression à froid venant du Japon qui présente une esthétique très unique et repose sur la superposition de couleurs) qui illustrent des détails de son travail textile. À travers ses projets, elle souhaite proposer une image complexe et multiple, tel un patchwork, des femmes, tout en mettant activement en question les difficultés émotionnelles et sociétales auxquelles elles sont confrontées.  Dans Espace Bouchor, FRAYED PORTALS. Les vitrines sont à la fois des portails sur un univers qui nous influencent ainsi que des miroirs où l’on peut se regarder. Toujours inspirée par les histoires de femmes qui nous entourent, Frayed Portals a présenté des travaux textiles qui profitent de la vitrine comme un portail mystique qui nous relie en tant que femmes; comment elles pourraient influencer nos désirs, l’exposition de nos corps, et les implications du consumérisme sur notre relation avec nous-mêmes en tant que femmes et nos proches.         [...]
MARS 2023 – Mois des Egalités – Manon DELARUE  Exposition immersive et conférences Histoire de femme? de femmes? de tous? Dans l’auditorium de la Fondation Victor Lyon, RÉVOLUTIONS, MENÉES, VÉCUES   Soirée de conférences   Qu’est-ce qui est à l’origine d’une révolution ? « Je travaille sur le phénomène révolutionnaire depuis plusieurs années. Une voix peut s’élever suite à un trop plein de violences, une série d’humiliations ou à la découverte d’un sentiment de liberté jusque-là, éteint. Cette voix peut devenir un évènement et entraîner un ralliement collectif. Ce processus peut bouleverser une société, un système, une institution. Afin de poursuivre la réflexion sur ce phénomène, j’invite plusieurs personnalités du monde des arts, à partager leurs expériences. Nous pourrons assister à une performance réflexive autour de la conférence, à l’histoire de la course à pied, à un soulèvement dans le monde de l’opéra classique et à l’évocation d’une soirée dansante, à la Créole. » Dans Espace Bouchor, DE SANG ET D’OR est une exposition sous forme de bande dessinée immersive. Au mur, plusieurs cases se succèdent pour former le récit d’une passion fugace. Celle-ci se déroule en Andalousie. Elle met en scène un homme espagnol, une femme française. Il est question d’érotisme, de sexualité et de culture espagnole. Cette histoire a pour ambition de soulever une question : sommes-nous égales et égaux face aux plaisirs ?   [...]
MARS 2023   –   Dans le cadre du MOIS DES EGALITES FEMMES/HOMMES, en partenariat avec la Mairie du XIVe arrondissement et la Fondation Victor Lyon à la Cité Internationale Universitaire de Paris, l’association ART SOUS X présente les artistes, Manon DELARUE et Lauren JANUHOWSKI. Deux artistes, deux femmes, exposent diverses expériences de vie tout en croisant des états de fait semblables. L’une, par le biais du textile, l’autre par le biais de la bande dessinée. Elles transposent un témoignage, une série de problématiques avec l’intention de donner à réfléchir, à dénoncer, à résister et même à désobéir ! Exposés dans différents contextes sur deux lieux du XIVe (à la maison de la Fondation Victor Lyon de la CIUP et à l’Espace Bouchor près de la Porte de Vanves), leurs travaux sont allés à la rencontre de multiples publics et ont pu ouvrir des échanges. Ces installations ont permis d’interroger et partager ce qui est commun à de nombreuses personnes, d’entrer dans une intimité et de soulever des questions fondamentales. Histoires de femmes! Pour chaque artiste  voir la présentation de leur travail et  de leur univers   PROGRAMME A la Cité Internationale Universitaire Paris    Fondation Victor Lyon  27, bd Jourdan 75014 Paris 01 > 08 mars   L JANUHOWSKI   Exposition tenture textile et risographies  (détails œuvres textiles) –  Vernissage  01 mars dans   ART HOP POLIS  Bibliothèque Fondation V Lyon -à partir de 19h  08 mars  M DELARUE   Soirée Conférences REVOLUTION MENEE, REVOLUTION VECUE  – Conférence sur la conférence, Morgane BAFFIER, artiste performeuse et conférencière – Aux origines de la course à pied, Manon DELARUE, auteure BD, professeure morphologie, coach sportive – Révolution dans le monde de l’opéra classique, Chloé LOPES GOMES, danseuse classique et professeur de ballet – Une soirée à la Créole, Amanda JAMME, chargée de communication digitale dans le monde de l’art et guide conférencière Auditorium Fondation Victor Lyon  19.30 > 21.30 –  Entrée libre A Espace Bouchor  5, rue Maurice Bouchor 75014 Paris –  mercredi > dimanche 14h> 19h 02 > 15 mars : M DELARUE   DE SANG ET D’OR   Bande Dessinée, Installation  – Vernissage 02 mars à partir de 19h – Finissage 15 mars à partir de 19h du 17 au 31 mars : Lauren JANUHOWSKI   FRAYED PORTALS  Textile, Exposition tapisserie tissage, broderie et création œuvre collective en broderie  – Vernissage 17 mars à partir de 19h [...]
FEVRIER 2023  –  Peinture, lecture  –  Le titre de son dernier livre “L’INFINIE PEINTURE” l’affirme. La recherche plastique de Daniel CASPAR est sans fin. Sa « décision d’entrer en peinture » dès l’âge de 19 ans, comme il l’écrit, le mène sur un chemin de créations semé d’« écarts », de contradictions, de ruptures…   Son univers se construit dans cette expérimentation et cette tension. Il lâche l’académisme, « accepte la part maudite de l’informe »( Michel ENRICI) saisit l’impact charnel des couleurs, les transperce de noir, travaille la matière, tord la sévérité de la géométrie plane, interroge la révolution de l’abstraction et l’énigme de la transmission… Sa détermination acharnée, sa mise en mouvements permanente se cognent à l’histoire de l’art et traversent toute sa création. Il édifie, grâce à des centres décentrés, du noir qui transperce la franchise des couleurs, des traces qui intensifient le silence du blanc, la cohérence et la beauté d’une œuvre.   Une magnifique déconstruction de la peinture, un inachèvement… (Barbara MAHE février 2023)       [...]

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