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Nouvelles saisons 2021

Les événements reprennent petit à petit leur place.

L’ été 2021 permettra de pouvoir enfin découvrir des expositions restées confinées depuis un certain temps avec  la nouvelle édition de EXPO4 au mois de juillet  (voir les informations dans la rubrique “EXPO AUX JEUNES ARTISTES  Edition 5” ) et une exposition de nouvelles œuvres de BERTRAND  BATAILLE au début septembre à Paris.

L’ automne accueillera au début octobre la nouvelle formule de la résidence pour jeunes artistes à la galerie de L’EXPO (voir les informations dans la rubrique ” EXPO AUX JEUNES ARTISTES – Edition 7″ ). Pendant un mois, de novembre à décembre, en partenariat avec la ville de Beaugency dans le Loiret, ART SOUS X  animera l’événement PASSAGES. Conçu avec 2 artistes, MARTINE HARDY  et PIERRE MARCHAND , plusieurs lieux culturels de la ville s’ouvriront pour accueillir une exposition  des œuvres de ces 2 artistes (sculpture, peinture), une lecture de textes avec la compagnie  LES FOUS DE BASSAN ainsi que la projection de films.

L’ hiver, à Tavers, ART SOUX  aura le plaisir de recevoir 2 artistes du Centre Val de Loire :   CATHERINE LEGRAND  (sculpture) et GUILLAUME BRABANT (peinture). 

Enfin, diverses  rencontres viendront ponctuer  de ci de là  ces nouvelles saisons 2021 afin de marquer  les 10 ans de ART SOUS X.

Nous vous attendons avec impatience! 

 

 

Derniers événements
MARS 2023   –   Dans le cadre du MOIS DES EGALITES FEMMES/HOMMES, en partenariat avec la Mairie du XIVe arrondissement et la Fondation Victor Lyon à la Cité Internationale Universitaire de Paris, l’association ART SOUS X présente les artistes, Manon DELARUE et Lauren JANUHOWSKI. Deux artistes, deux femmes, exposent diverses expériences de vie tout en croisant des états de fait semblables. L’une, par le biais du textile, l’autre par le biais de la bande dessinée. Elles transposent un témoignage, une série de problématiques avec l’intention de donner à réfléchir, à dénoncer, à résister et même à désobéir ! Exposés dans différents contextes sur deux lieux du XIVe (à la maison de la Fondation Victor Lyon de la CIUP et à l’Espace 5Bouchor près de la Porte de Vanves), leurs travaux iront à la rencontre de multiples publics et pourront ouvrir des échanges. Ces installations permettront d’interroger et partager ce qui est commun à de nombreuses personnes, d’entrer dans une intimité et de soulever des questions fondamentales. Histoires de femmes!  A propos du travail de Laure JANUHOWSKI Dans la bibliothèque de la Fondation Victor Lyon,  Lauren JANUHOWSKI exposera des bannières textiles et également une série de risographies (technique d’impression à froid venant du Japon qui présente une esthétique très unique et repose sur la superposition de couleurs) qui illustrent des détails de son travail textile. À travers ses projets, elle souhaite proposer une image complexe et multiple, tel un patchwork, des femmes, tout en mettant activement en question les difficultés émotionnelles et sociétales auxquelles elles sont confrontées.  Dans Espace 5Bouchor, FRAYED PORTALS. Les vitrines sont à la fois des portails sur un univers qui nous influencent ainsi que des miroirs où l’on peut se regarder. Toujours inspirée par les histoires de femmes qui nous entourent, Frayed Portals présente des travaux textile qui étudient la vitrine comme un portail mystique qui nous relie en tant que femmes; comment elles pourraient influencer nos désirs, l’exposition de nos corps, et les implications du consumérisme sur notre relation avec nous-mêmes en tant que femmes et nos proches. A propos du travail de Manon DELARUE Dans l’auditorium de la Fondation Victor Lyon, RÉVOLUTIONS, MENÉES, VÉCUES   Soirée de conférences   Qu’est-ce qui est à l’origine d’une révolution ? « Je travaille sur le phénomène révolutionnaire depuis plusieurs années. Une voix peut s’élever suite à un trop plein de violences, une série d’humiliations ou à la découverte d’un sentiment de liberté jusque-là, éteint. Cette voix peut devenir un évènement et entraîner un ralliement collectif. Ce processus peut bouleverser une société, un système, une institution. Afin de poursuivre la réflexion sur ce phénomène, j’invite plusieurs personnalités du monde des arts, à partager leurs expériences. Nous pourrons assister à une performance réflexive autour de la conférence, à l’histoire de la course à pied, à un soulèvement dans le monde de l’opéra classique et à l’évocation d’une soirée dansante, à la Créole. » Dans Espace 5Bouchor, DE SANG ET D’OR est une exposition sous forme de bande dessinée immersive. Au mur, plusieurs cases se succèdent pour former le récit d’une passion fugace. Celle-ci se déroule en Andalousie. Elle met en scène un homme espagnol, une femme française. Il est question d’érotisme, de sexualité et de culture espagnole. Cette histoire a pour ambition de soulever une question : sommes-nous égales et égaux face aux plaisirs ? PROGRAMME A la Cité Internationale Universitaire Paris    Fondation Victor Lyon  27, bd Jourdan 75014 Paris 01 > 08 mars   L JANUHOWSKI   Exposition tenture textile et risographies  (détails œuvres textiles) –  Vernissage  01 mars dans   ART HOP POLIS  Bibliothèque Fondation V Lyon -à partir de 19h  08 mars  M DELARUE   Soirée Conférences REVOLUTION MENEE, REVOLUTION VECUE  – Conférence sur la conférence, Morgane BAFFIER, artiste performeuse et conférencière – Aux origines de la course à pied, Manon DELARUE, auteure BD, professeure morphologie, coach sportive – Révolution dans le monde de l’opéra classique, Chloé LOPES GOMES, danseuse classique et professeur de ballet – Une soirée à la Créole, Amanda JAMME, chargée de communication digitale dans le monde de l’art et guide conférencière Auditorium Fondation Victor Lyon  19.30 > 21.30 –  Entrée libre A Espace 5Bouchor  5, rue Maurice Bouchor 75014 Paris –  mercredi > dimanche 14h> 19h 02 > 15 mars : M DELARUE   DE SANG ET D’OR   Bande Dessinée, Installation  – Vernissage 02 mars à partir de 19h – Finissage 15 mars à partir de 19h du 17 au 31 mars : Lauren JANUHOWSKI   FRAYED PORTALS  Textile, Exposition tapisserie tissage, broderie et création œuvre collective en broderie  – Vernissage 17 mars à partir de 19h [...]
Une édition sous le signe une nouvelle fois des « premières fois » : une résidence plus longue avec 3 semaines complètes de travail pour déplier les intentions présentées ; un lauréat à l’international…venu de Belgique ; une première expérience de marrainage pour Sixtine de Thé, elle-même artiste photographe ; un finissage prévu 3 jours avant la fin de la résidence pour laisser le temps au public de venir découvrir les œuvres réalisées et/ou en cours afin d’apprécier les différentes démarches. Mais toujours un vernissage très réussi pour le 20ème anniversaire de la Nuit blanche ! HADRIEN LOUMAYE Hadrien LOUMAYE a adopté un mode de production sérialisé, chaque peinture étant une variation d’un même tableau dans une multitude de nouvelles formes. La présentation en série de ceux-ci permet de modifier la perception habituelle qu’un spectateur peut en avoir. Les tableaux sont assez esthétisants de par leurs palettes de couleurs. La nervosité de la touche incarne une certaine subjectivité, une énergie vitale. Il y a une réelle ambiguïté entre une sensibilité d’influence romantique et une posture de production proche des artistes POP et de leurs successeurs. Ces apparentes contradictions permettent d’entreprendre une recherche sur le médium peint en jouant de son histoire et de ses enjeux internes. La question du goût est interrogée dans certaines des séries de peintures. Lorsque les sujets choisis peuvent sembler absurdes du fait qu’ils dépeignent des images tellement présentes dans l’imaginaire collectif, la limite tend à disparaître, entre un supposé bon goût et une esthétique kitsch. La dimension conceptuelle du travail réside dans la réflexion autour des caractères constituant du tableau. La peinture produite peut être lue de manière purement formelle, mais également trouver une certaine profondeur de sens en étant inscrite dans un certain tissu référentiel à l’aide du discours.       LOUIS MOTIN « Né à Paris et travaillant actuellement à Romainville, j’ai développé ma pratique artistique en parallèle de formations professionnelles en artisanat d’art (fonderie d’art, moulage, taille de pierre…) qui m’orientent vers des préoccupations centrées sur la matière et ses transformations. Au travers d’une écriture organique oscillant entre abstraction et figuration, mon travail s’articule autour de la dégradation des corps, profanation des matériaux, la manifestation d’un chaos qui se propage et dénature… Sensible aux enjeux de la création dans un contexte d’urgence écologique, je récupère des matériaux glanés autour de moi que je revalorise par des expérimentations techniques et scientifiques. Aussi, je cherche à figurer, par des dioramas, des sculptures et des installations, la trace d’un Monde d’après dont nous visiterions le musée. »       GALA VERNHES-CHAZEAU Originaire de Nantes, Gala VERNHES-CHAZEAU  travaille dans le 14ème arrondissement de Paris. Elle est diplômée de scénographie à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD) depuis 2020 et a également étudié l’archéologie et le textile. Elle questionne, à travers sa pratique artistique, la manière permanente dont nous mettons en scène notre vie et les environnements dans lesquels nous évoluons. Elle se joue des apparences en bousculant les matières, en inversant les codes de représentation, interroge notre rapport aux espaces, aux places, à la légitimité à se trouver quelque-part. Elle s’intéresse aux statuts que nous donnons aux objets inanimés, et à la manière dont ils représentent notre civilisation et notre époque. À travers un regard mi anthropologue, mi archéologue : elle pratique la fouille de nos manières de vivre.         LA MARRAINE  2022 Sixtine DE THÉ vit et travaille à Paris. Avant de se diriger vers une carrière d’artiste, elle fait des études d’histoire de l’art et de littérature à l’École Normale Supérieure et à l’École du Louvre. En 2016, elle entre aux Beaux-Arts de Paris dans l’atelier du photographe Éric Poitevin, où elle développe un travail pluridisciplinaire centré autour de la photographie, autour de laquelle s’articulent aussi l’écriture, la vidéo et le son. Sa recherche s’exprime comme une cartographie sensorielle du visible et de l’invisible, où des thèmes comme le corps, le visage et le territoire sont prépondérants.   « Pour le marrainage de cette édition de la résidence Bouchor, j’aimerais proposer une visite d’atelier hebdomadaire aux 3 artistes résident.e.s : les discussions s’attacheront à observer l’évolution du travail en cours, le rapport à l’espace de la résidence, à la temporalité proposée et aux développements futurs des travaux commencés. La forme que prendra la restitution de ces échanges sera décidée collectivement. »         photos © Louis Motin,© Gala Vernhes-Chazeau,© AurelK [...]
février-mars 2022 Calendriers bousculés par la situation sanitaire, 3 lauréats de l’édition 2020 ont pu enfin exposer leurs nouvelles créations et donner un fil rouge à l’exposition présenté dans le livret de présentation : « C’est sur des fondations de mots, de roches et de papiers que repose l’exposition “Hylé” (En philosophie, la hylé est la “ matière première” en tant que principe opposé, complémentaire ou exclusif de la forme ou de l’essence). Par leurs sensibilités respectives, les artistes révèlent tour à tour des facettes d’essentiel. Leur discours s’extrait directement de leurs médiums. »   AURELK AURELK présente pour cette exposition sa série de toiles « Cairns » et poursuit sa réflexion sur le ialogue entre les matériaux, en mélangeant pierres semi-précieuses et béton avec l’installation « Pavimentum ». Il interroge le statut du béton, est-il “carcan” ou “écrin” ? Sa surexploitation à fort impact environnemental ne devrait-il pas lui valoir un statut de matériau rare ? Entre solidité des matériaux et fragilité de leur équilibre, c’est notre regard sur le précieux que cette installation interroge;       ALICE LEJEUNE « Diplomée de L’ENSAD, ma pratique est multimédia. Elle transforme ou déplace les objets avec les rituels qui leur sont associés. Extrait de leurs habitudes et habitats, les objets et leurs rituels ne font plus partie du paysage. Ils deviennent une étrange bosse contre laquelle notre perception butte. Je pense que ce bégaiement, comme toute déformation de la langue, est un terrain fertile pour la discussion. Dans la série “Old News” ou “Vieilles nouvelles” ci-présent, le dessin se fait par aplat de matière. C’est du vieux papier usé, mouillé, broyé et filtré pour devenir papier renouvelé. L’imagerie propose ce processus comme un moyen de construire l’habitat, par coup d’érosion recyclé; de matières et d’histoires passées. »       AUDREY MARCIE Après un parcours en Poétique et Stylistique de la langue française, Audrey MARCIE renoue avec la sculpture en taille directe, sur pierre et sur bois, “en questionnant les ramifications de celle-ci jusque dans le monde contemporain : se situer aux sources de notre humanité en cherchant à s’exprimer, à se réfléchir voire à se transcender grâce à la confrontation, à la rugosité tant des langages – aussi bien de la matière que du verbe – que de l’apprentissage de soi, comme une autre forme d’avènement possible.” Audrey MARCIE fait œuvre de son parcours. Elle aborde son lien avec les lieux qu’elle habite ou quitte. Son travail raconte ses métamorphoses fructueuses comme ses traversées inhérentes à sa recherche (parachèvement, échec, errance, requête, confiance, quête). Elle y interroge la notion d’œuvre, comme objet matériel et processus d’engagement intime comme social.       photos © Nicolas Guillemot,© SMD   [...]
octobre 2020   La 6ème édition de l’exposition-résidence L’EXPO aux Jeunes Artistes ” n’a pas failli  à sa “réputation” (exposition de travaux autant de qualité que variés; travail intense; recherches; partage et  rencontre avec “son” public, les habitants du quartier, fidèles et friands de découvertes, et des passants, public toujours intéressé par les démarches proposées.)  Deux nouveautés  : au vernissage,  présentation de la réédition  de la programmation du Théâtre 14 par les nouveaux directeurs, MATHIEU TOUZE et EDOUARD CHAPOT, afin de mettre en lien les différente activités culturelles dans le quartier; au finissage,  l’intervention de  OLIVIER APERT qui a mené des interviews auprès des 4 lauréats dans le cadre de sa résidence d’écrivain Ile de France       AURELK   “Après quatre années au sein de l’Ecole Boulle, puis des études de réalisation à l’Ecole des studios de la Cité du Cinéma, mes pas m’ont amené à travailler en tant que décorateur de cinéma en animation et prise de vue réelle. Nourri de ces différents univers il me plaît de mêler divers supports, techniques et formats. Trouver un équilibre entre la parfaite abstraction et l’illusion du figuratif. Donner un caractère ordinaire à un matériau précieux et inversement révéler le précieux de techniques plus communes.” Pour la résidence, inspiré par les profils des rues du quartier, AURELK a réalisé une installation évolutive PAVEE D’OR constituée par de nombreuses petites” cartes” sur papier avec fusain, feuille d’or ou peinture acrylique  . Au fur et à mesure, cette fresque, en s’étoffant,  est devenue une cartographie abstraite, fantasmée du quartier dans laquelle chaque visiteur pouvait retrouver ou imaginer un parcours usuel, quotidien, rituel…ou occasionnel. AURELK a également  commencé une autre série autour de l’espace parcouru mais au-delà de la ville MONTAGNES.  INTERVIEW AVEC O APERT (film 1)  :  REGARDER   https://remue.net/olivier-apert-rencontre-4-jeunes-artistes         ALICE  LEJEUNE  Les travaux récents d’ALICE LEJEUNE se focalisent sur les traces de l’Histoire et des dynamiques sociales canalisées dans les objets qui nous entourent au quotidien. Visant à créer un espace de narration, les objets agissent comme témoins et orateurs. “Dans ma pratique, j’utilise divers médiums comme la photographie, la vidéo, la sculpture, l’installation et le dessin. Mes matériaux de prédilection du moment, sont en lien avec les fibres ou les objets de tous les jours. Dans mon travail, la photographie est souvent employée pour transporter mes interventions in-situ et garder une trace des pièces ayant disparues avec l’espace qui les contenait. J’essaie de ne pas utiliser de produit neuf, dans un souci de production responsable et surtout, pour explorer le vécu des choses qui ont un passé. Dans un premier temps, la réalisation de Point d’eau 421, introduit dans mon travail, l’usage d’une technique de tissage précolombien, ou le cadre de tissage prend la forme de la pièce désirée. Il n’y a pas de découpe à faire dans le tissu final, donc pas de chutes, d’effilochement ou de gaspillage. J’utilise cette technique pour “mouler” des détails d’espace. En l’absence de l’original, la “peau” qui en résulte est une trace. Cette démarche se prolonge depuis le 24 rue Gassendi, où une façade d’immeuble se détache des pierres beiges de l’architecture parisienne.  Des travaux sont prévus prochainement. Le dossier de construction parle de “démolition totale”. La rue s’apprête à changer de visage. Dans le souci de conserver l’essence du bâtiment à échelle, je reprends, le motif des fenêtres. Lors du temps de la résidence un nouveau chapitre s’ est articulé. Cette fois les formes émanent d’objets empruntés à la rue. Trouvés aux alentours de la rue Maurice Bouchor ou chinés aux puces de Porte de Vanves. D’un quartier à un autre, les objets perdus, encombrants, ou autres, reflètent leurs anciens propriétaires. Chaque pièce est un métier à tisser tridimensionnel permettant d’aborder l’histoire d’un quartier à l’échelle de ses objets. INTERVIEW AVEC O APERT (film 3)  REGARDER  https://remue.net/olivier-apert-rencontre-4-jeunes-artistes           AUDREY MARCIE   Après un parcours en Poétique et Stylistique de la langue française, AUDREY MARCIE renoue avec la sculpture en taille directe à laquelle elle avait été initiée plus jeune,  la sculpture sur pierre et sur bois, “en questionnant les ramifications de celle-ci jusque dans le monde contemporain : se situer aux sources de notre humanité en cherchant à s’exprimer, à se réfléchir voire à se transcender grâce à la confrontation, à la rugosité tant des langages –  aussi bien de la matière que du verbe – que de l’apprentissage de soi, comme une autre forme d’avènement possible.”  AUDREY MARCIE a poursuivi ce travail en l’inscrivant dans un lieu fait d’espaces et de formes, de visages et de paroles. “Un quartier comme une stratification d’histoires multiples, un carrefour propice aux rencontres : artistes, commerçants, habitants…” . Ses tribulations dans le quartier l’ont arrêtée aux sorties d’une école.  Cela est devenu son objet de travail via la taille de granit et d’ albâtre et les mots pour fixer autrement cette “histoire” dans l’écriture d’un livret SORTIES D’ECOLE.  INTERVIEW AVEC O APERT (film 2)  REGARDER  https://remue.net/olivier-apert-rencontre-4-jeunes-artistes            NANDI MAKALA  Mon travail est principalement abstrait, je m’inspire des étoiles, du cosmos, du corps féminin. Mes peintures ou mes tableaux textiles, je souhaite qu’ils se ressentent par la matière, la couleur et la lumière. J’utilise beaucoup le fil d’or, la feuille d’or et la peinture à dorer. Mes tableaux évoquent la résilience. Je créer des œuvres colorées qui imbriquent différentes approches du textile, parmi lesquelles la broderie, la couture et le crochet. Mes techniques de production, acquises au cours de mes études, sont réappropriées pour mettre en lumière une histoire culturelle spécifique. Cette histoire prend racine au Congo, lieu de naissance du « père ». Bien que mon travail soit interdisciplinaire, il est centré sur un intérêt pour l’histoire culturelle, les origines. J’explore la dichotomie entre le caché et le révélé : par rapport à mon identité, mes racines, mes empreintes, ma mémoire.   Pour répondre à l’idée que ” les histoires sont aussi tissées dans les lieux que nous arpentons.” NANDI MAKALA a fait des prises de vues du quartier,  un travail de composition mêlant photos et dessins à la main, puis a tissé des liens au fil sur chacune des photos. INTERVIEW AVEC O APERT (film 4)  https://remue.net/olivier-apert-rencontre-4-jeunes-artistes        photos © Philippe Van Es   [...]
MARS 2020  –  BLUES SUR PAROLES  –  avec AHMED BELBACHIR, DAVID TUIL  –  performance  –   Pour le second événement,  présentation de UNE HISTOIRE DU BLUES PAR SES TEXTES  dont la sélection des textes originaux et leur traduction revient à O APERT :  Lecture  par O APERT et Interprétation par  le comédien AHMED BELBACHIR,  accompagnés  par une création musicale de DAVID TUIL .   /  VOIR la performance  https://remue.net/blues-sur-paroles                         BLUES SUR PAROLES     Comme l’indique la présentation de cette anthologie inédite, le blues est et demeure une musique universelle qui parle à tous, à l’origine de bien des musiques dites populaires des XXe et XXI siècles. Mais si tout le monde a entendu, saisi la musique du blues, le sens des morceaux, le sens de la parole-blues même restait à comprendre entièrement, par sa traduction – d’ autant plus qu’avant même d’être musique, le blues a été parole, paroles d’esclaves, de travailleurs, de prisonniers destinées à être portées et partagées par tous. C’est bien cette parole que ce livre veut faire entendre par-delà les différences linguistiques, sociales, historiques, géographiques… En donner une version vivante, live, et non plus seulement livresque est le dessein de cette proposition sous la forme suivante :  Lecture-concert (en français) musicalisé d’une sélection des   morceaux de l’anthologie où il ne s’agit pas tant de mimer le blues (ce qui serait désobligeant) que d’adapter la version française sur des motifs musicaux d’inspiration blues libres de circuler dans une improvisation travaillée.                                                                                                                                                                                                                                                Olivier Apert                                     Introduction : voix de Howlin’ Wolf ·        Ma Rainey (1886-1955) – Va pêcher ailleurs – ·        Peg Leg Howell (1888-1966) – Le blues du rôdeur – ·        Leadbelly (1889-1949) – TB blues – ·        Bukkha White (1909-1977 – Le blues de l’homme qui dort ·        Mississippi John Hurt (1892-1966) – Le blues de la sucette – ·        Blind Lemon Jefferson (1893-1929) – Affamé et défait –   ·        Bo Carter (1893-1964) – L’homme à tout faire – ·        Fury Lewis (1893-1964) – Le blues du grand chef –    ·        Bessie Smith (1894-1937) – Le blues de la prison – ·        Robert Wilkins (1896-1987) – Pas moyen de s’en sortir – ·        Lillian Miller ( ?- ?) – Le blues de la cuite – ·        Blind Willie Johnson (1897-1945) – Sans plus de mère – ·        Blind Willie Mac Tell (1898-1959) – Cherchant un désert pour le blues – ·        Walter Roland (1902-1972) – Le blues du calibre 45 –                                                                     Durée : environ 1 heure   – Musique : toutes les compositions sont originales VOIR acte I  http://artsousx.fr/annee-olivier-apert-1-fevrier/ photos © Philippe Van Es [...]
NOVEMBRE 2019 –  céramique  – Dans le domaine de la céramique contemporaine française JEAN-FRANCOIS FOUILHOUX  fait partie des sculpteurs céramistes des plus singuliers. Il est reconnu comme maître du céladon en Chine, matière à laquelle  il consacre son œuvre  depuis plus de 40 ans sans cesser de renouveler ses formes  “Ce qui me plait avec le céladon, c’est son rapport à la lumière…ses qualités de reflets“. “Dès mon installation à MONT-PRES-CHAMBORD en 1976, j’étudie le céladon, recherchant dans les livres des informations qui n’y figurent pas. Dix ans plus tard, en 1986, une erreur de pesée m’entraîne sur la voie de cette matière satinée et translucide, envoûtante et mythique, à laquelle je consacre encore tout mon esprit et tout mon temps. Bien qu’ayant retrouvé aujourd’hui les principes techniques qui régissent la formation de ce fameux « reflet gras », je multiplie sans relâche les essais, toujours à la recherche d’une nouvelle perfection dans la qualité d’un satiné ou dans la nuance d’une tonalité. Le céladon procure une sensation de suavité, une impression de profondeur infinie. Par contraste, cette sérénité me permet d’exalter une tension, une certaine dramaturgie dans des sculptures aux lignes complexes, vives et parfois tourmentées.  L’opposition entre l’indéfini et le défini me séduit énormément, et sous-tend mon travail. J’aime cette progression qui va de l’effet de matière où chacun peut inscrire son imaginaire, vers une forme très définie qui exprime un univers esthétique symbolique. »  https://www.galerie-capazza.com/fr/32_fouilhoux-jean-francois photos exposition © Philippe Van Es       [...]

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